Le Fat Man blues

Je suis un gars positif, je m’assure toujours de prendre l’attitude verre plein car c’est ce qui est le plus constructif. Mais parfois il faut dire les vrais choses.

J’ai le Fat Man Blues.

J’adore le fat bike, et quand on voit ces vélos avec des pneus gigantesques, notre fantaisie est que ça roule partout. Mais la réalité est un peu différente. Parfois ces vélos nous surprennent, on roule dans des conditions qu’on aurait pas cru mais parfois les conditions semble bonne mais ça marche juste pas.

Les photos du récit sont un peu contradictoire car des photos d’un gars qui marche ou qui tombe c’est pas trop winner.

Hier midi je suis parti rouler, je commence par suivre une trace de 4 roues pour monter l’Eustis de montée, a part de nécessiter une concentration à avoir des sueurs ça monte très bien en restant dans une des traces de roues. Mais le 4 roues en question vire de bord, après ça a l’air bien: une belle neige lisse sur un chemin de 20 pied de large. Mais en estrie on a jamais récupérer du verglas de Noel. Il y a un 8 pouces de neige par dessus un croute encore glacée. Et cette croute porte fièrement la forme de tout les usages depuis 1 mois. Résultat, on roule 3 pied, on tombe, on essaie de repartir, on tombe etc.. etc…. je fini par marcher pendant un pti bout de temps. C’est quand même plaisant, il fait beau, je suis dehors, je suis sur mon heure de lunch. rien à se plaindre mais je me chiale pareil…..

Une fois rendu en haut, je descend le champ du sommet comme en snowboard, je trippe ben raide, je carve comme en ski , j’oublie le bout que je viens de marcher. RollerCoaster Émotionnel.

Fat Bikes = conditions changeantes avec toute la beauté de l’hiver et ces
inconvénient.

Ce midi, je pars en raquette avec mon “tapeu” et 50 lbs et je vais taper un bout de sentier. Ma modification de tapeux fonctionne bien, j’ai solidifier les deux gouvernails et ca fonctionne mieux en dévers.

En aprés midi , on part moi et isa sur ma piste fraîchement tappé et fioui fioui foiui ca roule pas fort. On zigzag, on tombe, on sacre…. On envie les gens qui ont accès aux pistes tapés par les raqueteux.

Cette sèche poudreuse ne veut juste pas se taper. On réussi a rouler quelque bout et comme en ski nordique, ces petits bout de paradis valent toute l’effort. Les descentes demande toute une technique de pilotage, on charge le devant pratiquement comme si on roulait un unicycle constitué de la roue avant, on ouvre les jambes et les coudes et on drift.

Le Fat Bike c’est le plein air, c’est le vélo de montagne: parfois c’est pas facile mais c’est ce qui rend vivant!

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