en direct de France...
par Caillou » Mar Août 28, 2007 10:30 am
Quand on lit ca, on a l'impression que la France est devenue un immense lieu de combat de chiens (humains/chiens)... Et quand ils ne mordent pas, on marche dans leurs crottes... Au secours!
Ce qui est desolant, c'est que la faute incombe aux maitres plus qu'aux chiens dans la majorite des cas (y compris pour les crottes bien sur...).
Ce qui est desolant, c'est que la faute incombe aux maitres plus qu'aux chiens dans la majorite des cas (y compris pour les crottes bien sur...).
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par chtiman » Mer Août 29, 2007 3:57 am
mercredi 29 août
Violents affrontements à Pigalle
Il s'agit peut-être d'une « réplique » de la violente bagarre de dimanche soir à la gare du Nord (10e), qui avait fait deux blessés. Hier matin, vers 1h, une cinquantaine de personnes réparties en deux bandes se sont violemment affrontées boulevard de Clichy, près de la place Blanche (18e). Un important dispositif policier, composé notamment d'effectifs de la brigade anticriminalité, s'est déployé pour mettre fin à cette rixe. Une trentaine d'individus, dont certains armés de machettes et de hachoirs, ont été interpellés. Quatorze ont été placés en garde à vue, et six l'étaient encore hier après-midi. Deux personnes ont été blessées, « mais n'ont pas été admises à l'hôpital ».
La police n'était pas en mesure hier de donner les motifs de ces affrontements, et a ouvert une enquête pour « violences volontaires avec armes », notamment. Selon les premiers éléments, c'est une bande des Hauts-de-Seine qui serait venue s'en prendre à une autre, localisée dans le 18e où, selon la police, « elle a ses habitudes ». Les mêmes se seraient déjà affrontées dimanche vers 19 h 30 au sein même de la gare du Nord. Deux personnes ont été blessées à l'arme blanche, et trois autres ont été interpellées dans cette affaire. Des contrôles d'identité ont été organisés dans la foulée, et la sécurité a été légèrement renforcée dans le secteur lundi.
Hier, la préfecture de police de Paris ne craignait « pas spécialement » de nouveaux affrontements. Mais a quand même décidé de « déployer un dispositif approprié » dans le quartier de Pigalle.
Violents affrontements à Pigalle
Il s'agit peut-être d'une « réplique » de la violente bagarre de dimanche soir à la gare du Nord (10e), qui avait fait deux blessés. Hier matin, vers 1h, une cinquantaine de personnes réparties en deux bandes se sont violemment affrontées boulevard de Clichy, près de la place Blanche (18e). Un important dispositif policier, composé notamment d'effectifs de la brigade anticriminalité, s'est déployé pour mettre fin à cette rixe. Une trentaine d'individus, dont certains armés de machettes et de hachoirs, ont été interpellés. Quatorze ont été placés en garde à vue, et six l'étaient encore hier après-midi. Deux personnes ont été blessées, « mais n'ont pas été admises à l'hôpital ».
La police n'était pas en mesure hier de donner les motifs de ces affrontements, et a ouvert une enquête pour « violences volontaires avec armes », notamment. Selon les premiers éléments, c'est une bande des Hauts-de-Seine qui serait venue s'en prendre à une autre, localisée dans le 18e où, selon la police, « elle a ses habitudes ». Les mêmes se seraient déjà affrontées dimanche vers 19 h 30 au sein même de la gare du Nord. Deux personnes ont été blessées à l'arme blanche, et trois autres ont été interpellées dans cette affaire. Des contrôles d'identité ont été organisés dans la foulée, et la sécurité a été légèrement renforcée dans le secteur lundi.
Hier, la préfecture de police de Paris ne craignait « pas spécialement » de nouveaux affrontements. Mais a quand même décidé de « déployer un dispositif approprié » dans le quartier de Pigalle.
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par chtiman » Jeu Août 30, 2007 2:22 am
jeudi 30 août
La retraite à 62 ans d'ici 2020?
Bras de fer autour du relèvement de l'âge de la retraite. La présidente du Medef Laurence Parisot a précisé mercredi soir que le relèvement à 61 ans de l'âge légal de la retraite qu'elle souhaite pourrait intervenir en 2012 et celui à 62 ans, en 2020. «Nous sommes le seul pays en Europe qui n'a pas relevé son âge de départ à la retraite au cours de ces dernières années». L'âge auquel la personne aurait commencé à travailler, le nombre d'années de cotisation, «ce sont des critères qu'il faut entrer dans le raisonnement. On serait une génération irresponsable si on ne faisait pas ce qu'il fallait pour essayer de résoudre le problème. J'ai dit ce matin qu'il fallait en discuter et ne pas traîner pour en discuter. C'est au gouvernement de dire sous quelles modalités il souhaite aborder le sujet», a-t-elle aussi déclaré.
La CFDT et FO opposés
Mais, invités à l'université d'été du Medef à Jouy-en-Josas, Jean-Claude Mailly, secrétaire général de FO, ainsi que son homologue de la CFDT, François Chérèque, se sont tous les deux opposés à cette idée.
«Nous avons eu un congrès au mois de juin et nous avons demandé qu'on arrête les compteurs à 40 ans de cotisations», a déclaré le premier. «Ce serait bien que les employeurs arrêtent de licencier les salariés quand ils dépassent les 50 ans, plutôt que de leur demander de travailler plus», a-t-il rétorqué.
De son côté, François Chérèque, a affirmé que «les retraites à 60 ans, c'est un symbole fort». «Il me semble qu'il faut travailler sur les éléments de choix» permettant de partir plus ou moins tard à la retraite «et les conséquences de ce choix sur les personnes». Mais on n'est pas prêt à discuter des 60 ans, ce n'est pas le sujet», a-t-il lui aussi prévenu.
La retraite à 62 ans d'ici 2020?
Bras de fer autour du relèvement de l'âge de la retraite. La présidente du Medef Laurence Parisot a précisé mercredi soir que le relèvement à 61 ans de l'âge légal de la retraite qu'elle souhaite pourrait intervenir en 2012 et celui à 62 ans, en 2020. «Nous sommes le seul pays en Europe qui n'a pas relevé son âge de départ à la retraite au cours de ces dernières années». L'âge auquel la personne aurait commencé à travailler, le nombre d'années de cotisation, «ce sont des critères qu'il faut entrer dans le raisonnement. On serait une génération irresponsable si on ne faisait pas ce qu'il fallait pour essayer de résoudre le problème. J'ai dit ce matin qu'il fallait en discuter et ne pas traîner pour en discuter. C'est au gouvernement de dire sous quelles modalités il souhaite aborder le sujet», a-t-elle aussi déclaré.
La CFDT et FO opposés
Mais, invités à l'université d'été du Medef à Jouy-en-Josas, Jean-Claude Mailly, secrétaire général de FO, ainsi que son homologue de la CFDT, François Chérèque, se sont tous les deux opposés à cette idée.
«Nous avons eu un congrès au mois de juin et nous avons demandé qu'on arrête les compteurs à 40 ans de cotisations», a déclaré le premier. «Ce serait bien que les employeurs arrêtent de licencier les salariés quand ils dépassent les 50 ans, plutôt que de leur demander de travailler plus», a-t-il rétorqué.
De son côté, François Chérèque, a affirmé que «les retraites à 60 ans, c'est un symbole fort». «Il me semble qu'il faut travailler sur les éléments de choix» permettant de partir plus ou moins tard à la retraite «et les conséquences de ce choix sur les personnes». Mais on n'est pas prêt à discuter des 60 ans, ce n'est pas le sujet», a-t-il lui aussi prévenu.
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par chtiman » Ven Août 31, 2007 4:27 am
vendredi 31 août
«Entre 400 et 500 morts subites de sportifs par an en France»
Après le décès d’Antonio Puerta à Valence, et de Chaswe Nsofwa en Israël, Xavier Jouven, épidémiologiste de l'Inserm revient sur les morts subites de sportifs qui ne touchent pas que les athlètes de haut niveau.
Deux footballeurs viennent d’être foudroyés en plein match. Est-ce que ce sont des faits courants?
Oui, cela arrive plus souvent qu’on ne le croit. Évidemment, quand cela touche des footballeurs pendant un match télévisé, c’est très médiatisé, mais ces morts subites ne touchent pas uniquement les sportifs de haut niveau. Nous estimons que 400 et 500 personnes sont victimes chaque année de mort subite dans le cadre d’une activité sportive. C’est beaucoup et cela touche tout le monde, sauf les femmes.
N’est-ce pas aussi lié au dopage?
Le dopage favorise cela. La plupart des produits dopants sont connus pour augmenter le risque de mort subite, mais cela ne veut pas dire que Puerta était dopé. Il y a de très nombreux cas de mort subite sans dopage. Apparemment, Puerta souffrait de dysplasie ventriculaire droite arythmogène. C’est une pathologie génétique qui n’est pas liée au dopage.
Mais il était dans un grand club, avec un suivi médical poussé. Comment les médecins ont-ils pu passer à côté?
C’est très difficile à détecter, surtout quand la pathologie est encore à un stade très précoce. Par ailleurs, les médecins font sans doute des examens plus poussés quand les joueurs sont recrutés que quand ils sont déjà au club. Cela peut expliquer que la pathologie de Johan Radet, qui était depuis de nombreuses années à Auxerre, ait été détectée lors de son transfert à Strasbourg.
«Entre 400 et 500 morts subites de sportifs par an en France»
Après le décès d’Antonio Puerta à Valence, et de Chaswe Nsofwa en Israël, Xavier Jouven, épidémiologiste de l'Inserm revient sur les morts subites de sportifs qui ne touchent pas que les athlètes de haut niveau.
Deux footballeurs viennent d’être foudroyés en plein match. Est-ce que ce sont des faits courants?
Oui, cela arrive plus souvent qu’on ne le croit. Évidemment, quand cela touche des footballeurs pendant un match télévisé, c’est très médiatisé, mais ces morts subites ne touchent pas uniquement les sportifs de haut niveau. Nous estimons que 400 et 500 personnes sont victimes chaque année de mort subite dans le cadre d’une activité sportive. C’est beaucoup et cela touche tout le monde, sauf les femmes.
N’est-ce pas aussi lié au dopage?
Le dopage favorise cela. La plupart des produits dopants sont connus pour augmenter le risque de mort subite, mais cela ne veut pas dire que Puerta était dopé. Il y a de très nombreux cas de mort subite sans dopage. Apparemment, Puerta souffrait de dysplasie ventriculaire droite arythmogène. C’est une pathologie génétique qui n’est pas liée au dopage.
Mais il était dans un grand club, avec un suivi médical poussé. Comment les médecins ont-ils pu passer à côté?
C’est très difficile à détecter, surtout quand la pathologie est encore à un stade très précoce. Par ailleurs, les médecins font sans doute des examens plus poussés quand les joueurs sont recrutés que quand ils sont déjà au club. Cela peut expliquer que la pathologie de Johan Radet, qui était depuis de nombreuses années à Auxerre, ait été détectée lors de son transfert à Strasbourg.
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par chtiman » Lun Sep 03, 2007 3:43 am
du 1er au 3 septembre
Braderie de Lille 2007: évènement international !
[img:150:200]http://www.aquadesign.be/im/news/images/img-2885.jpg[/img]
Connaissez-vous Lille ? Oui ! Lille...capitale du département du Nord Pas-de-Calais, Carrefour de l'Europe, ville natale du Général De Gaulle et capitale de la culture en 2004, voilà des références types que l'on donnerait sans hésiter. Et pourtant, il existe «une» référence, «un» évènement incontournable faisant de la ville de Lille...un endroit inoubliable : c'est la braderie de Lille ! De quoi s'agit-il exactement ? Chaque année, au premier week-end du mois de septembre, nombreux sont les gens participant à ce grand rendez-vous : celui de la chine, du petit commerce. Pendant 48h, une immense fête rassemble la population lilloise : que ce soit au centre ville, dans les rues, dans les quartiers les plus populaires, sur les places du marché (marché de wazemmes par exemple), sur les trottoirs et même devant les domicile, il y du monde pour marchander ! Mais pour mieux comprendre la portée de cet évènement, jetons un petit regard dans le passé de cette belle ville du Nord de la France !
Nul ne peut raconter avec précision, l'histoire de la braderie de Lille. Mais, on suppose que, la tradition remonterait au Moyen âge où, les ouvriers ou domestiques lillois ayant obtenu la permission devaient vendre les objets usagers et les vêtements de leur patron, et ce, entre le coucher et le lever du soleil. Pendant ces deux jours et nuits, professionnel de la brocante et de la pacotille, commerçants débutants profitent de l'occasion pour trouver acheteur à leurs objets ! Et depuis, la braderie de Lille a considérablement évolué et s'est largement étendue. La braderie de Lille a un écho à l'échelle nationale et internationale. D'une part, à l'échelle nationale, ce sont toutes les habitants des villes françaises qui se sentent concernés : de Lyon à Bordeaux, de Grenoble à Nantes, de Montpellier à Paris, les français se dirigent (en train ou en covoiturage) vers la ville de Lille et ce, dans l'espoir de trouver un «trésor», des articles à moindre coût ! Pour mieux agrémenter le déroulement de cet évènement devenu une véritable fête régionale, les restaurants ne lésinent pas sur la préparation des plats traditionnels de la région (moules et des frites en particulier), et ce, au rythme des sons divers. D'autre part, ce n'est pas au bruxellois que vous poserez la question de savoir s'ils connaissent braderie de Lille ! De Belgique, d'Allemagne, d'Espagne, du Luxembourg, de l'Angleterre, d'Italie... et même de la Suède, tout le monde veut y participer ! Il s'agit là, d'un réel rendez-vous des cultures d'Europe, favorisant ainsi, des rencontres, des découvertes de diverses cultures... Oui, à la braderie de Lille, il ne s'agit pas uniquement de la culture française qui y est représentée, mais aussi, celle asiatique, africaine...Certains artistes profitent même de l'occasion pour se faire connaître : peintre, artisan, sculpteur, chanteur...et bien évidemment, leurs oeuvres ne passent pas inaperçues... Bien évidemment, la braderie de Lille a bien une fin... débutée le samedi à 15 h, elle s'achève le dimanche à minuit. Là, on assiste «aux ballets» des véhicules d'entretien dans les rues de Lille, des certains acheteurs espérant toujours trouver l'objet de leur rêve et à moindre coût, une lampe de poche à la main...
plus d'infos ?
site officiel de la marie de Lille : http://www.mairie-lille.fr/sections/sit ... e/Braderie
site du journal La Voix Du Nord : http://www.lavoixdunord.fr/dossiers/braderie/
Braderie de Lille 2007: évènement international !
[img:150:200]http://www.aquadesign.be/im/news/images/img-2885.jpg[/img]
Connaissez-vous Lille ? Oui ! Lille...capitale du département du Nord Pas-de-Calais, Carrefour de l'Europe, ville natale du Général De Gaulle et capitale de la culture en 2004, voilà des références types que l'on donnerait sans hésiter. Et pourtant, il existe «une» référence, «un» évènement incontournable faisant de la ville de Lille...un endroit inoubliable : c'est la braderie de Lille ! De quoi s'agit-il exactement ? Chaque année, au premier week-end du mois de septembre, nombreux sont les gens participant à ce grand rendez-vous : celui de la chine, du petit commerce. Pendant 48h, une immense fête rassemble la population lilloise : que ce soit au centre ville, dans les rues, dans les quartiers les plus populaires, sur les places du marché (marché de wazemmes par exemple), sur les trottoirs et même devant les domicile, il y du monde pour marchander ! Mais pour mieux comprendre la portée de cet évènement, jetons un petit regard dans le passé de cette belle ville du Nord de la France !
Nul ne peut raconter avec précision, l'histoire de la braderie de Lille. Mais, on suppose que, la tradition remonterait au Moyen âge où, les ouvriers ou domestiques lillois ayant obtenu la permission devaient vendre les objets usagers et les vêtements de leur patron, et ce, entre le coucher et le lever du soleil. Pendant ces deux jours et nuits, professionnel de la brocante et de la pacotille, commerçants débutants profitent de l'occasion pour trouver acheteur à leurs objets ! Et depuis, la braderie de Lille a considérablement évolué et s'est largement étendue. La braderie de Lille a un écho à l'échelle nationale et internationale. D'une part, à l'échelle nationale, ce sont toutes les habitants des villes françaises qui se sentent concernés : de Lyon à Bordeaux, de Grenoble à Nantes, de Montpellier à Paris, les français se dirigent (en train ou en covoiturage) vers la ville de Lille et ce, dans l'espoir de trouver un «trésor», des articles à moindre coût ! Pour mieux agrémenter le déroulement de cet évènement devenu une véritable fête régionale, les restaurants ne lésinent pas sur la préparation des plats traditionnels de la région (moules et des frites en particulier), et ce, au rythme des sons divers. D'autre part, ce n'est pas au bruxellois que vous poserez la question de savoir s'ils connaissent braderie de Lille ! De Belgique, d'Allemagne, d'Espagne, du Luxembourg, de l'Angleterre, d'Italie... et même de la Suède, tout le monde veut y participer ! Il s'agit là, d'un réel rendez-vous des cultures d'Europe, favorisant ainsi, des rencontres, des découvertes de diverses cultures... Oui, à la braderie de Lille, il ne s'agit pas uniquement de la culture française qui y est représentée, mais aussi, celle asiatique, africaine...Certains artistes profitent même de l'occasion pour se faire connaître : peintre, artisan, sculpteur, chanteur...et bien évidemment, leurs oeuvres ne passent pas inaperçues... Bien évidemment, la braderie de Lille a bien une fin... débutée le samedi à 15 h, elle s'achève le dimanche à minuit. Là, on assiste «aux ballets» des véhicules d'entretien dans les rues de Lille, des certains acheteurs espérant toujours trouver l'objet de leur rêve et à moindre coût, une lampe de poche à la main...
plus d'infos ?
site officiel de la marie de Lille : http://www.mairie-lille.fr/sections/sit ... e/Braderie
site du journal La Voix Du Nord : http://www.lavoixdunord.fr/dossiers/braderie/
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par chtiman » Mar Sep 04, 2007 2:43 am
mardi 4 septembre
aujourd'hui elle est courte mais excellente !!!
Deux voleurs à la portière attaquent... une voiture de police banalisée
C’est ce qu’on appelle la poisse. Deux adolescents niçois de 16 ans ont tenté de commettre un vol à la portière dans la nuit de samedi à dimanche sans savoir qu'ils s'attaquaient… à une voiture de police banalisée. Les adolescents, qui opéraient à pied, ont été poursuivis et interpellés par les quatre agents de la brigade anti-criminalité qui se trouvaient dans la voiture. L'un des deux garçons, délinquant récidiviste, a été écroué par le juge auquel il a été présenté lundi. Le second a été remis en liberté sous contrôle judiciaire.
aujourd'hui elle est courte mais excellente !!!
Deux voleurs à la portière attaquent... une voiture de police banalisée
C’est ce qu’on appelle la poisse. Deux adolescents niçois de 16 ans ont tenté de commettre un vol à la portière dans la nuit de samedi à dimanche sans savoir qu'ils s'attaquaient… à une voiture de police banalisée. Les adolescents, qui opéraient à pied, ont été poursuivis et interpellés par les quatre agents de la brigade anti-criminalité qui se trouvaient dans la voiture. L'un des deux garçons, délinquant récidiviste, a été écroué par le juge auquel il a été présenté lundi. Le second a été remis en liberté sous contrôle judiciaire.
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par chtiman » Mer Sep 05, 2007 4:45 am
mercredi 5 août
Un des fils Sarkozy convoqué par la justice après un accrochage en scooter
Jean Sarkozy, un des fils du président français Nicolas Sarkozy, est convoqué le 11 septembre devant la justice à la suite d'un accrochage en 2005 avec un automobiliste lors duquel lui est notamment reproché un délit de fuite, a-t-on appris mardi de source judiciaire.
L'audience est prévue devant un juge de la 10e chambre du tribunal correctionnel de Paris, spécialisée dans les infractions liées au Code de la route, a-t-on ajouté de même source, confirmant une information du quotidien Le Monde.
Le fils cadet de Nicolas Sarkozy, âgé de 20 ans, est cité à comparaître pour délit de fuite, défaut de maîtrise de son véhicule, non-respect des distances de sécurité et dégradation légère.
Il lui est reproché d'avoir percuté en scooter l'arrière d'une voiture, le 14 octobre 2005 à Paris, et de ne pas s'être arrêté. Selon Le Monde, l'automobiliste accidenté réclame 260,13 euros pour frais de réparation et 4.000 euros de dommages et intérêts.
Nicolas Sarkozy a deux fils, Pierre et Jean, d'un premier mariage. Il en a un troisième, Louis, de son mariage en 1996 avec son actuelle épouse, Cecilia.
Un des fils Sarkozy convoqué par la justice après un accrochage en scooter
Jean Sarkozy, un des fils du président français Nicolas Sarkozy, est convoqué le 11 septembre devant la justice à la suite d'un accrochage en 2005 avec un automobiliste lors duquel lui est notamment reproché un délit de fuite, a-t-on appris mardi de source judiciaire.
L'audience est prévue devant un juge de la 10e chambre du tribunal correctionnel de Paris, spécialisée dans les infractions liées au Code de la route, a-t-on ajouté de même source, confirmant une information du quotidien Le Monde.
Le fils cadet de Nicolas Sarkozy, âgé de 20 ans, est cité à comparaître pour délit de fuite, défaut de maîtrise de son véhicule, non-respect des distances de sécurité et dégradation légère.
Il lui est reproché d'avoir percuté en scooter l'arrière d'une voiture, le 14 octobre 2005 à Paris, et de ne pas s'être arrêté. Selon Le Monde, l'automobiliste accidenté réclame 260,13 euros pour frais de réparation et 4.000 euros de dommages et intérêts.
Nicolas Sarkozy a deux fils, Pierre et Jean, d'un premier mariage. Il en a un troisième, Louis, de son mariage en 1996 avec son actuelle épouse, Cecilia.
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par chtiman » Jeu Sep 06, 2007 3:06 am
jeudi 6 août
«Les membres des bandes en recréent de nouvelles à Paris»
Des bagarres de plus en plus violentes et une communautarisation des bandes des cités. C'est le constat alarmant que dresse un rapport de la direction centrale des renseignements généraux (DCRG), dans un rapport de juillet, révélé par le journal «Le Monde». Selon les policiers, les cinq premiers mois de 2007 ont été marqués par 129 affrontements entre bandes, soit une progression de 29 % par rapport à 2006 (287 faits similaires recensés). Un phénomène qui n'est pas passé inaperçu dans les médias alors que ces rivalités ont débordé ces dernières semaines dans la capitale.
En Seine-Saint-Denis, le phénomène des bandes augmente mais n'explose pas, confie un policier qui connaît bien le dossier à 20minutes.fr. «Les bagarres se focalisent sur certains points chauds récurrents comme la frontière entre Noisy-le-sec et Rosny-sous-Bois ou entre Montreuil et Bagnolet». «Certaines bandes en affrontent d'autres venues d'autres départements - Epinay et Villetaneuse contre Argenteuil, Aulnay contre Meaux - car elles se trouvent sur le même axe de RER mais ces bagarres restent relativement fixes dans l'espace», poursuit-il.
Une communautarisation des bandes?
Le rapport des RG s’inquiète aussi d’un phénomène qui «s'ethnicise». «Ces formations délinquantes constituées en majorité d'individus originaires d'Afrique noire ont la particularité d'instaurer une violence tribale ne donnant lieu à aucune concession», notent les enquêteurs. L’enquêteur interrogé par 20minutes.fr nuance la communautarisation des bandes. «C'est la composition ethnico-structurelle des cités qui fait qu'une bande d'un quartier est uniquement composée de noirs ou de maghrébins mais nous sommes encore très loin des conflits ethniques à l'américaine entre blacks et latinos», tempère-t-il. Un jugement inverse de celui de la ministre de l’Intérieur, Michèle Alliot-Marie, qui estime mercredi qu’il existe des «bandes à caractère ethnique qui s'affrontent à ce titre».
Quant à «l'exportation» des bagarres à Paris, le policier ne croit pas que les bandes de banlieues viennent en découdre dans la capitale en groupes. «Les membres des bandes recréent de nouvelles bandes dans la capitale qui ont des activités spécifiques distinctes de celles de la banlieue». Bref, les émeutiers de la gare du nord «n'agissent pas en tant que représentants du 93 ou du 92». D'où, selon lui, l'origine variée des personnes interpellées ces derniers jours.
Quant à Frédéric Lagache, secrétaire national du syndicat de policiers Alliance Paris, il pense que si le phénomène des bandes se développe, «c'est que les RG ont arrêté de faire un travail efficace dessus depuis un an». «Les Renseignements Généraux sont réorientés vers la lutte contre le petit deal de rue qui devrait être du ressort d'autres services», dénonce-t-il. «S'occuper des bandes suppose un travail de repérage dévoreur de moyens humains et sans rentabilité immédiate. Il faut que l'administration se réinvestisse dans ce combat». Un vœu qui pourrait être exaucé alors que la ministre de l'intérieur organise une réunion à ce sujet jeudi avec les préfets de Paris et de ses départements limitrophes.
«Les membres des bandes en recréent de nouvelles à Paris»
Des bagarres de plus en plus violentes et une communautarisation des bandes des cités. C'est le constat alarmant que dresse un rapport de la direction centrale des renseignements généraux (DCRG), dans un rapport de juillet, révélé par le journal «Le Monde». Selon les policiers, les cinq premiers mois de 2007 ont été marqués par 129 affrontements entre bandes, soit une progression de 29 % par rapport à 2006 (287 faits similaires recensés). Un phénomène qui n'est pas passé inaperçu dans les médias alors que ces rivalités ont débordé ces dernières semaines dans la capitale.
En Seine-Saint-Denis, le phénomène des bandes augmente mais n'explose pas, confie un policier qui connaît bien le dossier à 20minutes.fr. «Les bagarres se focalisent sur certains points chauds récurrents comme la frontière entre Noisy-le-sec et Rosny-sous-Bois ou entre Montreuil et Bagnolet». «Certaines bandes en affrontent d'autres venues d'autres départements - Epinay et Villetaneuse contre Argenteuil, Aulnay contre Meaux - car elles se trouvent sur le même axe de RER mais ces bagarres restent relativement fixes dans l'espace», poursuit-il.
Une communautarisation des bandes?
Le rapport des RG s’inquiète aussi d’un phénomène qui «s'ethnicise». «Ces formations délinquantes constituées en majorité d'individus originaires d'Afrique noire ont la particularité d'instaurer une violence tribale ne donnant lieu à aucune concession», notent les enquêteurs. L’enquêteur interrogé par 20minutes.fr nuance la communautarisation des bandes. «C'est la composition ethnico-structurelle des cités qui fait qu'une bande d'un quartier est uniquement composée de noirs ou de maghrébins mais nous sommes encore très loin des conflits ethniques à l'américaine entre blacks et latinos», tempère-t-il. Un jugement inverse de celui de la ministre de l’Intérieur, Michèle Alliot-Marie, qui estime mercredi qu’il existe des «bandes à caractère ethnique qui s'affrontent à ce titre».
Quant à «l'exportation» des bagarres à Paris, le policier ne croit pas que les bandes de banlieues viennent en découdre dans la capitale en groupes. «Les membres des bandes recréent de nouvelles bandes dans la capitale qui ont des activités spécifiques distinctes de celles de la banlieue». Bref, les émeutiers de la gare du nord «n'agissent pas en tant que représentants du 93 ou du 92». D'où, selon lui, l'origine variée des personnes interpellées ces derniers jours.
Quant à Frédéric Lagache, secrétaire national du syndicat de policiers Alliance Paris, il pense que si le phénomène des bandes se développe, «c'est que les RG ont arrêté de faire un travail efficace dessus depuis un an». «Les Renseignements Généraux sont réorientés vers la lutte contre le petit deal de rue qui devrait être du ressort d'autres services», dénonce-t-il. «S'occuper des bandes suppose un travail de repérage dévoreur de moyens humains et sans rentabilité immédiate. Il faut que l'administration se réinvestisse dans ce combat». Un vœu qui pourrait être exaucé alors que la ministre de l'intérieur organise une réunion à ce sujet jeudi avec les préfets de Paris et de ses départements limitrophes.
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par chtiman » Ven Sep 07, 2007 3:01 am
vendredi 7 août
La France n’a que la coupe aux lèvres
Pendant six semaines, la planète ovale prend ses quartiers dans l’Hexagone. A Lens, à Paris, à Nantes, à Bordeaux, à Lyon, à Saint-Etienne, à Toulouse, à Montpellier et à Marseille. Dès aujourd’hui et jusqu’au 20 octobre, la France va vivre au rythme de la sixième Coupe du monde de rugby. Comme elle a vécu au rythme des Jeux olympiques d’été, à Paris en 1924, des JO d’hiver d’Albertville en 1992, du championnat d’Europe de football en 1984, ou encore des Mondiaux d’athlétisme à Saint-Denis en 2003. Comme elle a vibré devant la consécration de Zidane et consorts, un certain 12 juillet 1998.
A l’instar de la bande à Aimé Jacquet, celle de Bernard Laporte transformera-t-elle l’essai à domicile ? Poussés par tout un peuple, les Bleus nourrissent de grandes ambitions. Ils rêvent de monter – enfin – sur le toit du monde. Ils rêvent d’imiter la Nouvelle-Zélande et l’Afrique du Sud, couronnés sur leurs terres en 1987 et en 1995.
Gravir la dernière marche
Depuis vingt ans, les Blacks, les Australiens, les Springboks et les Anglais se sont partagés tous les triomphes de la plus prestigieuse compétition internationale.
Des nations majeures du rugby, seule la France n’a pas encore brandi le trophée Webb-Ellis. Finaliste en 1999 et en 1987, demi-finaliste en 2003 et en 1995, le XV tricolore souhaite plus que jamais gravir la dernière marche qui mène aux sommets. Et soulever devant ses supporters une coupe en argent plaquée d’or, qui mesure 38 centimètres de hauteur.
Pour y parvenir, les trente Bleus pourront compter sur un formidable élan populaire : les 2 400 000 billets mis en vente le 5 novembre 2005 ont quasiment tous trouvé preneur. L’objectif de stades remplis « à plus de 85% » est déjà atteint, se réjouit Bernard Lapasset, le président de la Fédération française de rugby.
Dans le Sud-Ouest et dans la capitale, fiefs de l’Ovalie hexagonale, mais aussi dans le Nord, les Pays de la Loire et en Alsace, régions vivant sans vitrine ni Bouclier de Brennus, la fête promet d’être colorée. En bleu, blanc, rouge.
La France n’a que la coupe aux lèvres
Pendant six semaines, la planète ovale prend ses quartiers dans l’Hexagone. A Lens, à Paris, à Nantes, à Bordeaux, à Lyon, à Saint-Etienne, à Toulouse, à Montpellier et à Marseille. Dès aujourd’hui et jusqu’au 20 octobre, la France va vivre au rythme de la sixième Coupe du monde de rugby. Comme elle a vécu au rythme des Jeux olympiques d’été, à Paris en 1924, des JO d’hiver d’Albertville en 1992, du championnat d’Europe de football en 1984, ou encore des Mondiaux d’athlétisme à Saint-Denis en 2003. Comme elle a vibré devant la consécration de Zidane et consorts, un certain 12 juillet 1998.
A l’instar de la bande à Aimé Jacquet, celle de Bernard Laporte transformera-t-elle l’essai à domicile ? Poussés par tout un peuple, les Bleus nourrissent de grandes ambitions. Ils rêvent de monter – enfin – sur le toit du monde. Ils rêvent d’imiter la Nouvelle-Zélande et l’Afrique du Sud, couronnés sur leurs terres en 1987 et en 1995.
Gravir la dernière marche
Depuis vingt ans, les Blacks, les Australiens, les Springboks et les Anglais se sont partagés tous les triomphes de la plus prestigieuse compétition internationale.
Des nations majeures du rugby, seule la France n’a pas encore brandi le trophée Webb-Ellis. Finaliste en 1999 et en 1987, demi-finaliste en 2003 et en 1995, le XV tricolore souhaite plus que jamais gravir la dernière marche qui mène aux sommets. Et soulever devant ses supporters une coupe en argent plaquée d’or, qui mesure 38 centimètres de hauteur.
Pour y parvenir, les trente Bleus pourront compter sur un formidable élan populaire : les 2 400 000 billets mis en vente le 5 novembre 2005 ont quasiment tous trouvé preneur. L’objectif de stades remplis « à plus de 85% » est déjà atteint, se réjouit Bernard Lapasset, le président de la Fédération française de rugby.
Dans le Sud-Ouest et dans la capitale, fiefs de l’Ovalie hexagonale, mais aussi dans le Nord, les Pays de la Loire et en Alsace, régions vivant sans vitrine ni Bouclier de Brennus, la fête promet d’être colorée. En bleu, blanc, rouge.
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Lapierre Tecnic Lite single speed 2004
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chtiman - Ninja du wheelie
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par Steff » Dim Sep 09, 2007 9:13 pm
Après notre traditionnel "1h plus tard dans les Maritimes", nous avons maintenant le "1 mois en retard en France" !!! 
Aye chtiman, change la page de ton calendrier!
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Steff - Soprano du Dirtjump
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par chtiman » Lun Sep 10, 2007 3:43 am
du 8 au 10 août
Concorde en stock à Saint-Aubin
Petits instruments de bord, vanne d'isolation thermique, altimètre, masque à oxygène passager... Un millier de pièces détachées du supersonique Concorde sont exposées (en accès libre) depuis samedi à l'hôtel des ventes Saint-Aubin. Elles seront ensuite mises en vente aux enchères du 28 septembre au 1er octobre à la Halle aux grains. Présentées sur 500 m2, les pièces, posées sur des caisses d'emballage en bois ou disposées dans des vitrines, raviront curieux, collectionneurs, amateurs et acheteurs potentiels. Seul le train d'atterrissage, pesant 1,2 tonne, n'a pu être exposé.
Avec une mise à prix entre 1 500 et 2 500 euros, le machmètre gradué jusqu'à Mach 2 va certainement retenir l'attention des acheteurs et des visiteurs. Parmi eux, Michel Rétif, le mécanicien naviguant sur le premier vol du Concorde, le 2 mars 1969, se souvient. « A 2 000 km/h, le Concorde mettait Paris à trois heures de New York. Mon plus beau souvenir reste l'atterrissage à New York, il y a trente ans », raconte-t-il.
Dans une ambiance nostalgique, 835 lots, dont la mise à prix va de 20 euros à 3 000 euros, sont exposés et proposés aux enchères. « C'est une vente exceptionnelle. On en fait qu'une comme ça dans une carrière. Mon père était pilote, j'avais 9 ans quand le Concorde a décollé pour la première fois. Je suis de sa génération », raconte Marc Labarbe, le commissaire-priseur. Il conseille aux acheteurs potentiels de s'inscrire à l'hôtel des ventes et de retirer une plaquette d'enchérisseur. A la Halle aux grains, où les pièces seront projetées sur un écran géant, vingt-cinq lignes téléphoniques sont prévues pour les participants.
Propriété d'Airbus, ce stock de mille pièces a été cédé à l'association Aérothèque, qui oeuvre à protéger le patrimoine aéronautique. Le bénéfice de la vente sera reversé à Aéroscopia, vaste parc de découverte aéronautique qui ouvrira ses portes en 2010 face aux usines d'assemblage A 380. Une belle fin pour cet avion mythique.
Concorde en stock à Saint-Aubin
Petits instruments de bord, vanne d'isolation thermique, altimètre, masque à oxygène passager... Un millier de pièces détachées du supersonique Concorde sont exposées (en accès libre) depuis samedi à l'hôtel des ventes Saint-Aubin. Elles seront ensuite mises en vente aux enchères du 28 septembre au 1er octobre à la Halle aux grains. Présentées sur 500 m2, les pièces, posées sur des caisses d'emballage en bois ou disposées dans des vitrines, raviront curieux, collectionneurs, amateurs et acheteurs potentiels. Seul le train d'atterrissage, pesant 1,2 tonne, n'a pu être exposé.
Avec une mise à prix entre 1 500 et 2 500 euros, le machmètre gradué jusqu'à Mach 2 va certainement retenir l'attention des acheteurs et des visiteurs. Parmi eux, Michel Rétif, le mécanicien naviguant sur le premier vol du Concorde, le 2 mars 1969, se souvient. « A 2 000 km/h, le Concorde mettait Paris à trois heures de New York. Mon plus beau souvenir reste l'atterrissage à New York, il y a trente ans », raconte-t-il.
Dans une ambiance nostalgique, 835 lots, dont la mise à prix va de 20 euros à 3 000 euros, sont exposés et proposés aux enchères. « C'est une vente exceptionnelle. On en fait qu'une comme ça dans une carrière. Mon père était pilote, j'avais 9 ans quand le Concorde a décollé pour la première fois. Je suis de sa génération », raconte Marc Labarbe, le commissaire-priseur. Il conseille aux acheteurs potentiels de s'inscrire à l'hôtel des ventes et de retirer une plaquette d'enchérisseur. A la Halle aux grains, où les pièces seront projetées sur un écran géant, vingt-cinq lignes téléphoniques sont prévues pour les participants.
Propriété d'Airbus, ce stock de mille pièces a été cédé à l'association Aérothèque, qui oeuvre à protéger le patrimoine aéronautique. Le bénéfice de la vente sera reversé à Aéroscopia, vaste parc de découverte aéronautique qui ouvrira ses portes en 2010 face aux usines d'assemblage A 380. Une belle fin pour cet avion mythique.
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